Vous le savez peut-être si vous lisez attentivement les pages spécialisées de la presse à sensation : un récent scrutin a porté au pouvoir dans notre beau pays une clique gauchiste. L'Hippopotable, conscient de sa responsabilité d'informer, de dénoncer les injustices et de nuire aux ennemis de la France, sans trop prendre de risques toutefois, a décidé d'envoyer son meilleur reporter afin de savoir ce qui se trame dans l'entourage du nouveau Conducator Corrézien. Voici le premier volet de cette édifiante et navrante saga.
Raymond Cartier, habilement déguisé en dandy, renifle une poignée de porte. |
Notre investigateur a découvert que le «président», à peine secs les bulletins falsifiés qui ont permis son usurpation, commence déjà à nouer des contacts secrets avec les membres du crime organisé (ou au minimum du crime amidonné et repassé).
Le nouveau maître du pays multiplie les consultations téléphoniques afin de constituer au plus vite un gouvernement de margoulins, d'analphabètes et de ragotins.
C'est à bord d'une GS blindée spécialement aménagée que le chef fantoche des jean-foutre fait grimper la note de téléphone - qui sera payée par le contribuable. |
Inutile de préciser que les candidats ministres sont légion, et se réjouissent déjà de piller les richesses accumulées au prix de décennies de labeur par les vrais travailleurs. |
Cédant aux sirène d'une «modernité» dictée par certains milieux germanopratins, le gauchiste encaviardé va bien entendu devoir imposer des femmes au sein de son gouvernement. Donnant lieu aux séances de crépage de chignon qu'on imagine entre des pauvres filles qui vont se couvrir de ridicule à la première occasion !
Elle sait tenir un crayon ? Elle fera l'affaire ! C'est bien suffisant pour noter les instructions des agents de Moscou qui lui feront office de «conseillers». |
Et si, d'aventure, les volontaires ne sont pas assez nombreuses pour donner une touche féminine au nouveau gouvernement fantoche, qu'importe : on improvisera.
Une perruque, et le tour est joué : cet étudiant marxiste (ici en train de lire le «Capital» de Staline) fera une ministre du «Temps Collectif et de la Gymnastique Prolétaire» tout à fait acceptable. |
Nous appelons déjà tous les courageux citoyens, qui ne veulent pas abandonner le pays à ce groupuscule rouge sang, à s'organiser pour résister avec courage et dignité. Il suffit parfois de dire fermement : NON ! pour empêcher une nation de tomber dans l'oisiveté, la veulerie et le déshonneur. Ne reniez pas vos convictions.
Merci cependant de ne pas mentionner notre blogue ou ses animateurs en cas d'interrogatoire : nous serons plus efficaces en liberté que dans les geôles bolchéviques.
A bientôt pour de nouvelles révélations.
(réclame)
6 commentaires:
Et cette jeunesse décadente qui abîme nos beaux monuments parisiens, qui se vautre dans le stupre et fume des produits illicites !
Ah ! Si le Général voyait ça !
C'est se faire bien du tracas pour un Zapata de pacotille flanqué de guerilleros d'opérette.
L'antifrance ne saurait triompher.
Les mânes du Marégénéral veillent sur l'avenir glorieux de la Patrie.
Je suis confiant. (Hips! S'cusez)
et c'est, comme par hasard, à ce moment précis que resurgit opportunément le vieux dossier dit des" plombiers du Connard enchaïné."
On ne m'ôtera pas de l'idée, même à la hache, qu'il y a là une bien trouble coïncidence...
Zazous ! Beatniks !
Si je vous disais ce que ces dégénérés ont osé faire ce dimanche à la sortie de l'office, et avec le surplis de rechange de notre bon Père Goumard encore !
Lui qui est si doux et s'occupe si bien des cadets de la paroisse le mercredi après-midi, ces chers anges.
Pendant longtemps je me suis opposée - avec retenue et discrétion - à mon époux, héros de la guerre, résistant dès 1944, mais je dois reconnaître qu'il a raison : ce qu'il faudrait à tous ces jeunes désœuvrés c'est une bonne guerre !
Ne pourrait-on déclarer la guerre aux boches ou demander au cousin Américain de nous aider à chasser le Rouge hors des frontières de notre Patrie chérie ?
Voilà qui relancerait l'économie. Comme dit mon mari : "en Alsace nous n'avons jamais perdu une guerre, il y a toujours moyen de leur vendre quelque chose."
Et puis les GIs sont bien séduisants, allez... Ah les souvenirs.
@Anonyme... Ça finira bien par se savoir qu'on est des malgré-nous !
Ils ne respecteront pas leurs promesses, comme d’habitude. Il y a trente ans, ils nous ont promis des chars soviétiques aux portes de Paris. Las nous n'avons toujours rien venir.
Combien de temps encore allons-nous devoir attendre ?
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