Voici donc aujourd'hui un motif de réjouissance dans le domaine sportif :
(une fois de plus, nous vous invitons à cliquer sur la photo afin d'en lire la légende. Notez mentalement de cliquer ensuite sur la flèche gauche de notre navigateur afin de retrouver le fil de ce blogue.)
Vous jugerez sans peine de l'"enthousiasme indescriptible" de la "foule" (sachez que chez les habitants de Lille, connus pour leur flegme, l'ébauche d'un sourire est considérée comme une manifestation de joie proche de l'indécence).
"Fatigues et souffrances sans nombre" au programme de ces trois courageux basques, un bel exemple d'abnégation dont tous nos jeunes feraient bien de s'inspirer, au lieu de se trémousser au son d'ineptes chansons "yé-yé".
Rendez-vous très bientôt pour des nouvelles que nous espérons toujours aussi bonnes.
(réclame)
7 commentaires:
Mais quid du Mocassin IOWA ? Est-ce par anti-américanisme primaire que vous ne mentionnez pas cette importante information glissée dans la légende ?
Appartenez vous à la clique gaullo-communiste ?
L'enthousiasme des lillois est effectivement indescriptible. Il faut donc féliciter ce reporter photographe d'avoir su nous le montrer sur ce cliché.
Par ailleurs nous souhaitons un prompt rétablissement à vos 8 collaborateurs touchés par la maladie.
Belle image de foule en liesse, en effet, qui nous réchauffe le coeur en ces temps d'intoxication collective au plomb.
J'adresse mes plus chaleureuses félicitations à ces trois sportifs, dont l'endurance et le goût de l'effort sont un magnifique exemple pour les jeunes d'aujourd'hui.
Et vive le mocassin Iowa, dont l'excellence nous est confirmée une fois de plus!
Avec mes compliments,
Janique A.
PS : J'espère que le conducteur de la fourgonnette Iowa avait pris la précaution de porter un TrimSlip "auto" afin d'effectuer ce périple dans les meilleures conditions de confort.
Je trouve que vous passez un peu vite sur l'augmentation des porte-plumes, mesure inique qui risque de pousser nos concitoyens à écrires à l'aide de stylographes, ou pire de pointes Bic, dont on sait comment ils rendent mal les pleins et les déliés qui font le charme de l'écriture apprise sur les bancs de nos écoles communales.
D'autre part, je vous ferait remarquer que Mauléon est situé dans les Deux Sevres (Entre Maulévrier et Cerisay) et non dans les Pyrenées, et que la distance Mauléon-Lille n'excède pas 600 kms. Il vous faudrait recouper un peu mieux vos informations ; est ce que Raymond Cartier serait encore trop absorbé par ses sandwich au salami pour corriger des erreurs aussi grossieres ?
Bien à vous,
PS : on me transmet par cable a l'instant qu'il y a aussi un Mauleon dans les Pyrenées, non loin de Viodos-Abence-de-Bas
PS2 : un deuxieme cable me dit qu'il y a un deuxieme Mauleon dans les pyrenées, Mauleon-Barousse, ainsi qu'un Mauleon d'Armagnac dans le Gers .
Cette recrudescence inquiétante de Mauléons n'est elle pas signe d'une attaque des ennemis de la France ? Ne pouvez vous pas faire appel à l'un des Super Français dont vous êtes si proche ? Existe-t-il par exemple un Super-Toponymiste qui pourrait en un éclair changer les noms de tous les Mauleons surnuméraires ?
Merci pour vos remarques judicieuses, chers auditeurs.
Nous reviendrons prochainement sur les mocassins IOWA qui connaissent un succès grandissant.
En ce qui concerne la multiplication des Mauleon, notre reporter Raymond Cartier est sur une piste sérieuse, mais, chut ! (Il dort).
Où puis-je me procurer le slip ?
En effet, heureuse génitrice d'un ado de futur 18 ans, je ne doute pas qu'un tel appareillage fasse fureur pour fêter le papier rose.
P.S.: Je parle du permis de conduire, toute allusion à un autre papier rose ne serait que pure coïncidence.
Mon cher Paul,
Vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je vous appelle mon cher Paul, même si nous ne gardâmes ensemble ni vaches, ni cochons, ni couvées ?
Bref, mon cher Paul, disais-je, votre subtile analyse de l'actualité de cette rentrée semble ignorer la hausse substantielle et inexpliquée du prix de la Solexine.
Saurez vous mobiliser vos lecteurs, comme vous savez le faire - et l'avez démontré avec brio à de nombreuses reprises - sur des sujets graves, pour militer auprès de notre gouvernement pour qu'il rétablisse un tarif acceptable par tous sur ce produit si indispensable au quotidien de nombreux français, quitte (n'hésitons pas devant les grands moyens !) à taxer un peu plus le super.
A côté de ce vrai sujet qui mériterait à lui seul un grand débat national, j'hésite un peu, de crainte d'abuser de votre patience et de celle de vos lecteurs, à évoquer aussi la hausse du prix de la chicorée.
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