"Pour survivre dans le contexte actuel, une entreprise est condamnée à grandir", nous confiait Jean Pruche, P.D.G. des établissements Pruche et Lepioufle, de Mauléon, lors d'une passionnante conférence intitulée "Le succès : c'est pas gagné d'avance".
A l'instar de multinationales comme Frigidaire, Simca ou Solidaim, l'Hippopotable doit donc croître et se diversifier si elle veut se démarquer de la concurrence des "blogues", de plus en plus nombreux.
C'est donc après avoir examiné plusieurs projets (dont un "blogue" consacré à la ferronerie d'art, et un autre sur les métiers du ciment) que nous avons finalement décidé de lancer "la bibliothèque idéale de l'Hippopotable".
Vous y trouverez chaque semaine une notule détaillant un ouvrage qui a attiré notre attention, par sa qualité, son originalité ou (le plus souvent) sa présence sur une étagère à notre portée.
La rédaction de l'Hippopotable (ici : moi même, Jaques Courtois et Danièle Génaut ; le pr. Leduc est au petit coin) communique étroitement avec celle de "La Bibliothèque Idéale"
Une ambiance quelque peu "bohème" caractérise la jeune équipe de "La Bibliothèque Idéale" (moyenne d'âge : 43 ans).
Alors, rendez vous sans plus tarder ICI.
Ou bien LA.
3 commentaires:
bon, maintenant, ça suffit tes conneries !
Cesse d'importuner l'internet avec toutes ces sornettes.
T'as pas du taf ?
Bel exemple d'inutilité pour la jeunesse que ce blogue !
Signé : Cuisto
Cher "Cuisto"
Merci pour votre suggestion. L'équipe de l'Hippopotable prend note et ne manquera pas d'y donner suite.
PS : à quand la sortie de "Cuisto parade" ?
Monsieur Cuisto,
En réponse à votre Honoré Dutant, je tiens à porter à votre attention que votre qualité de cuisinier, dont il ne s'agit guère ici de discuter l'honorabilité, ne vous autorise certes pas à salir la réputation de l'Hippopotable, cette vénérable institution qui fait oeuvre de salut public en portant à l'attention des populations civiles les complots de sinistres et véreux - et probablement gauchisants - individus dermocapillocrypteurs.
Je vous prie de croire, blablabla
Enregistrer un commentaire